
Voyeur Cam
Vous avez demandé comment les États, y compris le Connecticut, abordent le voyeurisme.
Vous avez été particulièrement inspiré par la question de savoir si certains États punissent les voyeurs qui tentent d’en tirer profit en proposant des photos ou des cassettes de leur matériel malfaisant.
Vous avez également besoin de savoir si la loi du gouvernement prévoit des sanctions pour la publication de ces informations sur Internet.
Plusieurs États ont des lois criminalisant le voyeurisme ou des exercices de “voyeur”. Ces lois changent en gros en ce qui concerne le niveau de spécificité.
Gold Country, par exemple, dépeint dans les moindres détails certaines parties de cette structure de la vie, il faut le voir tous ensemble pour qu’un homme méconnaisse sa loi sur le “visionnement obscène” tandis qu’Indiana fait du “voyeurisme” le fait de planer sur la propriété de quelqu’un d’autre regarder Quelques-uns de ces États refusent en particulier à quiconque de filmer ou d’enregistrer quelqu’un d’autre, sans consentement, tout en surveillant cet individu sous la protection de son domicile ou de tout autre lieu privé.
Pas moins d’un État interdit aux voyeurs d’offrir, de manière générale, appropriée ou dispersée des images ou des enregistrements qu’ils prennent ou enregistrent.
Les États qui ne traitent pas particulièrement de photos ou de cassettes autorisent les personnes dont les photos ont été prises sans leur consentement et disponibles à être achetées à mener une activité commune pour nuire à la protection de la personne.
Les États, comme le Connecticut, qui ne disposent pas de lois particulières sur le voyeurisme concept, criminalisent fréquemment les actes liés au voyeurisme en vertu de lois telles que l’intrusion, le plomb confus ou la rupture de la paix.
La loi gouvernementale punit les personnes qui utilisent des ordinateurs personnels ou Internet pour transmettre des documents fétides ou vulgaires.
La Cour suprême des États-Unis a statué que certaines parties de la loi étaient obscures et a donc ignoré le premier amendement à la Constitution américaine.
Les lois gouvernementales sur la sécurité, telles que la loi fédérale sur la protection de la vie privée de 1974, la loi sur la protection de la vie privée de 1980 et la loi de 1986 sur la confidentialité des communications électroniques, ne protègent pas les victimes de voyeurisme de la diffusion de leurs photos sur Internet.
ÉTATS DONT LE STATUT DE VOYEURISME CRIMINEL
Nous avons reconnu 12 États dotés de lois interdisant particulièrement le voyeurisme. Le tableau 1 présente les états, un aperçu de la loi et les sanctions.
L’un des États, le Tennessee, intègre dans la loi une sanction pour l’appropriation des photos d’un voyeur. La cour d’appel de Géorgie a statué qu’un voyeur qui distribue ou vulgarise ses photos peut gêner le droit de la victime à la sécurité (McDaniel c. Coca-Cola Bottling Co., 2 SE 2d 810 (1939)).
Différents États dotés de statues de type voyeurisme intègrent Hawaii, le Minnesota, le New Hampshire et l’Utah, où le direct peut s’inscrire sous l’intrusion de lois de protection.
En Californie, au Colorado, au Kansas, au Kentucky, au Michigan, au Montana, à New York, dans le Dakota du Nord et en Oklahoma, un voyeur pourrait être accusé d’avoir écouté. De plus, il pourrait être un escroc de l’Arkansas.
Dans le Connecticut, un voyeur peut être accusé de négligence directe dans le cas où il espérait causer des ennuis, causer de l’irritation ou de l’alerte, se mêler de manière désagréable ou brouillée avec quelqu’un d’autre (CGS § 53a-182).
La peine éparse est un crime de classe C pouvant aller jusqu’à trois mois de prison, une amende de 500 $, ou les deux. Il peut être accusé de paix au cas où il exposerait, circulerait, posterait ou ferait connaître librement toute question hostile, obscène ou dommageable concernant un individu (CGS § 53a-181).
La rupture de la paix est un acte répréhensible de classe B qui mérite une détention pouvant aller jusqu’à six ans, une amende de 1 000 dollars, ou les deux.
Idéal pour la vie privée
Dans les États qui ne criminalisent pas la diffusion ou la circulation de bandes ou de photos prises à tort par des voyeurs (sexshop), les victimes de tels actes ont été efficaces pour acquérir des activités délictueuses pour atteinte à la sécurité.
L’attaque du privilège de la sécurité créée comme un délit autonome et incontestable par l’œuvre d’art et l’article populaire de Samuel Warren et Louis Brandeis (voir Le droit à la vie privée, 4 Harv. L. Rev. 193, 195 (1890)). Depuis lors, le privilège de la sécurité a été assuré dans une partie prépondérante du débat sur ce pays.
La loi sur la sécurité comporte quatre types d’attaques indéniables: (1) l’interruption de l’isolement ou de la ségrégation physique et mentale de la partie lésée; (2) la divulgation ouverte de certitudes privées; (3) une exposition qui met un homme sous un faux jour, et (4) un détournement du nom ou de la ressemblance d’un homme (voir Prosser sur les délits, § 112).
Les lois sur le voyeurisme relèvent de la première sorte d’intrusion. Le transfert ou la commercialisation d’enregistrements ou de photos illégalement faits par un voyeur peut tomber sous le deuxième type d’attaque.
